Les photos qui accompagnent le texte bilingue (français/espagnol) de cette pièce de Julie Vincent sont de deux types : photos prises à Montréal et à Buenos Aires qui servent de base aux triples projections qui sont de fait le troisième personnage de la pièce; elles sont soit l’évocation visuelle des émotions des deux personnages, soit la mise en contexte du dialogue entre les deux protagonistes dont l’une, Annabelle, est elle-même photographe.
Voir plus bas un extrait du préambule au texte où l’on expose le processus de création (p. 7).
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Photos parues dans le livre
Annabelle, la photographe, dit au tout début de la pièce : « Je suis le visage des autres. » Cette seule réplique m’a obligé à une « chasse » aux visages de femmes qui a permis ce montage à la page 13 du livre. Merci à toutes ces Montréalaises et toutes ces Porteñas (habitantes de Buenos Aires) qui ont accepté que je capte leur regard. La photographie est souvent la clé de rencontres inoubliables.