COMPOSITEUR
ET
MONTEUR DE LA BANDE-SON - MICHEL SMITH
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Son implication dans Fleuve...
Voici ce que dit Michel Smith de son implication dans Fleuve, raconte-moi, chante-moi, rends-moi la vie: « La création musicale de Fleuve, raconte-moi, chante-moi, rends-moi la vie est pour moi une aventure et un défi particulier. Chaque évènement musical représente une bouteille jetée dans l'imaginaire d'un texte qui bouillonne d'images. Conjuguée à des photos uniques, il en résulte une facture impressionniste, vouée à la mémoire et à la pertinence des enjeux d'aujourd'hui ».
En plus d’être co-auteur de Fleuve..., concepteur-compositeur de la musique originale, Michel Smith a été le preneur de son, pour les voix, et le monteur de la bande sonore: mixage des voix et de la musique.L’expression «homme-orchestre» ne peut mieux lui convenir.
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LE MONTEUR DE LA BANDE-VIDÉO - JUAN MANUEL VARNI
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J’ai connu Adriana Ramponi alors que j’éditais Le Chemin de la croix latino-américain, texte et peintures d’Adolfo Pérez Esquivel, Prix Nobel de la paix, musique originale d’Amanda Guerrero. Nous avions besoin d’une version en français de ce projet. Nous nous sommes immédiatement trouvés sur la même longueur d’onde.
Peu de temps après, en 2010, Adriana m’a invité à concevoir une vidéo pour un projet, né à la suite d’une communication qu’elle avait présentée lors d’un colloque international sur l’eau, animée par une série de photos de l’artiste de Montréal, François-Régis Fournier. À cette équipe s’était joint pour la musique, le compositeur et musicien Michel Smith, lui aussi de Montréal.
Quand j’ai vu les photos et que j’ai écouté le texte poétique, j’en ai été ébahi. Adriana ignorait ma folle passion pour l’eau, elle ne pouvait même pas soupçonner que mon vrai milieu est l’eau, elle ne pouvait pas connaître la sensation de plénitude que j’éprouve quand je suis en lien avec cet élément. Je suis un grand nageur, un amphibie.
La force de ces images, le texte qui en augmente le sens, la composition musicale qui donne à l’ensemble une âme, un rythme, ont été le moteur de mon processus de création.
J’ai laissé mon imagination s’envoler. Je me suis laissé captiver par la beauté de ces photos. J’ai senti l’eau couler paisiblement, et par moments, jaillir vigoureusement de l’intérieur de la nature, être l’essence de l’existence. J’ai eu besoin de me joindre à elle une fois de plus, pour donner du mouvement à mon inspiration. Ce fut beau !
Je remercie les auteurs de m’avoir fait confiance et de m’avoir permis de faire partie de leur équipe.
Juan Manuel Varni
(Buenos Aires, Argentine, février 2012)
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